Flandre (Brussels Morning Newspaper) – La police a mené des perquisitions dans 8 habitations en Flandre occidentale et dans un domicile à Málaga, en Espagne, saisissant des drogues, 18 000 euros en liquide, et procédant à l’arrestation de 10 ressortissants belges. Le principal suspect est Thomas Detavernier, de la zone de police VLAS. Deux des chefs présumés ont été extradés d’Espagne.
Où les perquisitions ont-elles eu lieu ?
Selon les informations de VRT News, les forces de l’ordre ont effectué des perquisitions à Kuurne, Wielsbeke, Gullegem, Roulers et Koolskamp. Simultanément, une autre opération a été menée à Málaga, en Espagne.
Quelles ont été les découvertes des forces de police ?
La police a découvert une quantité importante de drogues, du cash, ainsi qu’une organisation bien structurée qui vendait du cannabis et de la cocaïne. Thomas Detavernier a qualifié l’opération de « coup dur » pour la criminalité liée à la drogue dans la région. Les perquisitions en Belgique ont également révélé des preuves que le réseau était actif depuis longtemps.
Comment la police a-t-elle découvert le lien entre la Belgique et l’Espagne ?
En Espagne, la police a mis la main sur une plantation de cannabis opérationnelle à Málaga, équipée de matériel professionnel et contenant une grosse somme d’argent. Deux dirigeants du réseau ont été arrêtés sur place et extradés vers la Belgique, où ils ont été présentés à un juge d’instruction.
Que contient le butin saisi ?
Au total, la police a trouvé 8 kg de cannabis, 400 g de haschisch, 500 g de cocaïne, 18 000 € en espèces ainsi qu’une arme de poing.
Quelles sont les conséquences pour les suspects arrêtés ?
Les dix personnes interpellées sont toutes de nationalité belge. Trois hommes et une femme ont été placés en détention provisoire après leur audition par le juge. Une autre femme a été placée sous surveillance électronique via un bracelet. Les autres suspects ont été libérés sous conditions, mais restent sous contrôle judiciaire.
Quelle est la suite de l’enquête ?
La police soupçonne que le réseau fait partie d’une organisation criminelle plus vaste. Selon Thomas Detavernier, l’enquête reste ouverte. Les autorités poursuivent leur travail pour déterminer la structure complète du réseau, ses membres et ses modes de fonctionnement.